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Article
paru dans le magazine "Médecine Douce
" de Juillet 2007
L'EAU
NOTRE PREMIER ALIMENT ET PREMIER REMEDE !!!
René
Quinton, l'un des plus éminents pionniers français
de l'hydrothérapie, disait que "notre organisme n'est
qu'un aquarium, dans lequel baignent des milliards
de cellules". Et pour cause, puisque l'eau est à l'origine
de la vie, qui n'a pas quitté l'élément aqueux durant
les neuf premiers dixièmes de son histoire. Aujourd'hui
encore, cet élément indispensable à l'ensemble des
processus métaboliques domine tous les systèmes vivants
et constitue l'essentiel de notre terrain biologique.
C'est dire l'importance de cette eau dont de plus
en plus de naturopraticiens nous assurent qu'elle
constitue le premier remède à tout trouble de santé,
en premier lieu parce que l'hydratation est nécessaire
à la construction des tissus, alors que la déshydratation
provoque leur destruction. Leur message est clair
: "Plutôt que la surmédication, mieux vaut l'hydratation
!". En d'autres termes, il faut boire ! Oui, mais
quoi ?
DES BOISSONS ... QUI DÉSHYDRATENT &
La
quasi totalité de l'humanité vit dans un état de déshydratation
chronique. Mais ce n'est pas parce que personne ne
boit suffisamment ; c'est parce que tout le monde
boit mal! Il y a, bien sûr, des personnes qui négligent
de boire tout au long de la journée, et qui très vite
souffrent de troubles rénaux; mais la déshydratation
commune est plutôt due à la consommation des boissons
industrielles, de l'alcool, du café et du thé... La
plupart des liquides que l'on a pris l'habitude de
boire, au lieu d'hydrater l'organisme, provoquent
pratiquement toujours l'effet inverse. Les sodas,
par exemple, sont pleins de sucre, de colorants, d'exhausteurs
de goût, d'aspartame et de caféine. Or, pendant que
la caféine provoque une déshydratation directe par
diurèse accélérée et une accoutumance psycho-nerveuse,
le sucre et l'aspartame déclenchent des réflexes de
manque au niveau hépatique et induisent une sensation
de faim se substituant à la sensation de soif. Ces
sodas, donc, ne sont pas seulement responsables d'une
déshydratation mais d'une véritable addiction et d'une
suralimentation qui conduisent souvent à l'obésité.
L'alcool est un agent de déshydratation extrêmement
puissant parce qu'il brûle la matière organique et
provoque une importante diurèse par désinhibition
de certaines zones du cerveau. C'est en majeure partie
cette extrême déshydratation consécutive à l'absorption
d'alcool qui est responsable de la fameuse "gueule
de bois". Le thé et le café ont une action nettement
diurétique donc provoquent aussi une réelle déshydratation.
Ces excitants finissent également par épuiser l'organisme,
et notamment les surrénales et le muscle cardiaque,
en suscitant des dépenses énergétiques souvent excessives
par rapport aux réserves effectives. Il faut donc
consommer les boissons déshydratantes avec modération,
et boire de l'eau pure en abondance. Mais quelle eau
?
DE
LA CURE THERMALE À LA CURE D'EAU
Le
premier réflexe, pour éviter le chlore de l'eau du
robinet, consiste à se précipiter sur les eaux dites
"minérales" en croyant encore trop souvent y trouver
une eau pure et saine et y retrouver les bienfaits
des sources thermales. Or, il n'en est rien. L'eau
minérale en bouteille ne possède pratiquement plus
aucune des vertus qu'elle avait à sa source et à long
terme son excès de minéralisation encrasse l'organisme.
Par exception, la remarquable Hydroxydase, une eau
antiurique et anti-cholestérol, a la particularité
de conserver, une fois embouteillée, l'intégralité
des constituants minéraux et des propriétés qu'elle
possédait à la source. Partenaire indispensable de
la plupart des cures de détoxication, elle a le pouvoir
de détruire les toxines et de les éliminer par diurèse.
Elle comble des carences minérales, aide à combattre
les surcharges métaboliques telles que le cholestérol,
l'acide urique, l'urée, les lipides et les triglycérides,
lutte contre les surcharges pondérales, et elle est
indiquée comme adjuvant au traitement de certaines
formes de rhumatismes. D'autres eaux minérales en
bouteilles ont des vertus spécifiques. La Vichy Saint-Yorre,
par exemple, est idéale pour combattre ponctuellement
l'acidité gastrique. Vittel Hepar, Vittel Grande Source
et Contrex, à consommer durant deux ou trois semaines
- mais jamais plus longtemps - sont indiquées lorsqu'il
est urgent d'éliminer urée et acide urique... Mais,
bien sûr, leur effet bénéfique n'est pas comparable
à celui d'une cure thermale. L'intérêt thérapeutique
de l'eau est connu depuis fort longtemps. La découverte
des bienfaits de l'hydrothérapie commence au dix-neuvième
siècle, et la connaissance des aspects les plus subtils
de l'eau au vingtième siècle, mais c'est depuis la
plus haute Antiquité que le thermalisme a prouvé ses
qualités thérapeutiques dans le domaine des maladies
respiratoires, circulatoires et génito-urinaires.
Au griffon, c'est-à-dire à la source, chaque eau minérale
a une action bien spécifique : les eaux froides oligo-métalliques
sont diurétiques, les sulfatées calciques drainent
les reins et le foie, les hyperthermales oligo et
polymétalliques apaisent les douleurs, les carboniques
sédatives agissent sur les intestins, les sulfatées
calciques sodiques et magnésiennes stimulent le péristaltisme
et combattent l'obésité, les chlorurées sodiques traitent
les rhumatismes... Sans doute la cure thermale n'est-elle
pas indispensable lorsqu'on a la chance d'être en
parfaite santé, mais dès que le moindre trouble, le
moindre dysfonctionnement organique commencent à s'installer,
"prendre lés eaux" n'a rien d'un caprice. C'est, au
contraire, l'orientation thérapeutique la plus sage
qui soit, puisque l'eau des sources thermales traite
à peu près tout. Cependant, on a constaté depuis peu
qu'outre ces eaux réputées thérapeutiques, l'eau pure
est aussi capable de guérir bien des maux si l'on
apprend comment la boire. Dès les années soixante,
les naturopathes insistaient sur l'importance de consommer
au moins un litre et demi d'eau pure par jour. Puis,
plus récemment, suivant l'exemple d'un médecin indien,
le docteur Batmanghelidj, et prenant en considération
que la déshydratation de la cellule est responsable
de nombreux troubles, douleurs et maladies, ils préconisent
des cures d'eau.
DEUX LITRES PAR JOUR PAR PETITES PRISES

Dans
cette cure, il est, bien sûr, indispensable non seulement
de ne plus consommer des substances déshydratant la
cellule, comme les boissons alcoolisées, les aliments
riches en nitrates et nitrites ou les viandes, mais
aussi de boire beaucoup d'eau, une eau pure, sans
mélange et en dehors des repas afin que l'organisme
et la cellule puissent en bénéficier. L'idéal est
de répartir la prise des deux litres d'eau en deux
grands verres le matin à jeun, une demi-heure avant
le petit-déjeuner, un verre en milieu de matinée,
deux ou trois verres en milieu d'après-midi, et un
verre le soir au coucher. Pour cette cure d'eau, il
est naturellement conseillé de consomme: de l'eau
très pure. L'eau de montagne, telle qu'elle jaillit
à sa source, est idéale ; à défaut, les eaux de Volvic,
de Montcalm ou de Mont-Roucous conviennent bien Il
est possible de les alterner, de temps à autres, avec
un peu d'eau du robinet correctement filtrée par osmose
inverse. Mais il ne suffit pas que l'eau soit pure,
il faut aussi savoir comment la boire. Il ne s'agit
surtout pas d'avaler brutalement deux litres d'eau
par jour, surtout si l'organisme est déshydraté depuis
longtemps, ce qui est souvent le cas chez les personnes
âgées ! Il est souvent impératif de commencer progressivement
la cure d'eau. On s'assure avant tout que le système
rénal fonctionne suffisamment bien pour éviter toute
rétention d'eau. Si ça n'est pas le cas, on commence
la cure en n'ajoutant qu'un verre ou deux par jour
à la consommation habituelle ; si le volume d'urine
n'augmente pas aussi de la valeur d'un verre ou deux,
on consulte afin d'entreprendre un traitement. Il
est évidemment exclu de boire pendant les repas, afin
de ne pas noyer les sucs digestifs et les enzymes.
Et il est conseillé de consommer quotidiennement un
verre de jus d'orange pour bénéficier d'un apport
de potassium qui régule la production d'histamine.
Ainsi l'organisme retrouve progressivement un état
d'hydratation normale et l'on retrouve la sensation
de soif authentique. La sensation de "bouche sèche"
n'est pas la soif, mais le signe d'une extrême déshydratation,
dont on ne doit pas attendre la survenue pour se décider
à boire. Avec une telle cure, c'est donc l'instinct
de boire qui est rétabli, en même temps que des maladies
liées à la déshydratation sont traitées.
LES
MALADIES DE LA DÉSHYDRATATION
Bien sûr, contrairement à ce que prétendent les enthousiastes
excessifs, l'eau ne guérit pas tout. Mais l'expérience
clinique démontre qu'elle améliore de très nombreux
troubles. En cas de douleurs dyspepsiques ou rhumatismales,
d'angines, de douleurs cardiaques liées à l'effort,
de douleurs dorsales, de douleurs des membres inférieurs
pendant la marche ou de migraines, par exemple, quelques
jours de cure d'eau suffisent soit à guérir définitivement,
soit à savoir si l'affection est liée ou non à la
déshydratation : si c'est le cas, la cure provoque
la disparition des symptômes. La cure d'eau est particulièrement
indiquée pour traiter des affections spécifiques.
Alliée à une marche quotidienne d'une bonne heure,
elle lutte contre le surpoids en éliminant la constipation
et en modérant les sensations de faim et de soif.
Elle vient souvent à bout des gastrites, duodénites,
aigreurs d'estomac ou colites par régulation du processus
digestif et réhydratation de l'intestin. La cure d'eau
diminue également l'hypercholestérolémie, car, en
cas de déshydratation, le cholestérol augmente pour
assurer l'étanchéité de la membrane cellulaire ; réhydrater
la .cellule revient donc à chasser le cholestérol
en excès. De même la réhydratation favorise le retour
à une tension normale dans la mesure où un organisme
déshydraté retient le sel pour maintenir le volume
d'eau extracellulaire, ce qui provoque un état d'hypertension.
Les allergies disparaissent lorsque l'hydratation
de l'organisme se rétablit, car l'histamine n'a plus
besoin de s'emballer pour régler le métabolisme de
l'eau. Les rhumatismes, avec un peu de marche et quelques
cures d'eau, sont grandement améliorés, car rétablir
une bonne hydratation des gaines enveloppant les cellules
des cartilages articulaires facilite le glissement
des surfaces les unes sur les autres et ainsi, freine
leur dégradation.
LES
EAUX DE CURE ET L'EAU DE TOUS LES JOURS
La solution à la fois la plus simple et la moins onéreuse,
recommandée par l'immense majorité des naturopathes,
pour disposer d'une eau pure, utilisable aussi bien
pour la boisson que pour la cuisine, consiste à purifier
l'eau du robinet par le procédé de l'osmose inverse.
Cette filtration, purement physique, s'effectue à
travers une membrane de matières composites inertes,
semi perméables, en général en spirale, et dont la
porosité est de 0,0001 micron. C'est dire que tous
les éléments supérieurs à cette taille, qu'ils soient
de natures organique ou inorganique, sont évacués.
L'eau ainsi débarrassée de son calcaire et de l'excès
de minéralité correspond donc aux critères définis
par la bioélectronique pour une eau de boisson idéale.
Cette filtration n'élimine pas seulement les mauvais
goûts et les quelques polluants habituellement charriés
par l'eau du robinet, elle génère une eau faiblement
minéralisée et par conséquent réellement bénéfique
à l'organisme, avec un pH légèrement acide, un rH2
réducteur et une résistivité aux alentours de 30000
Ohms. La plupart des eaux de source en bouteille ne
sont guère meilleures que l'eau du robinet non filtrée.
Il convient donc de faire une sélection drastique
pour choisir des eaux de haute qualité. L'eau de Volvic
est recommandée, par tous les naturopathes parce qu'elle
est assez pure pour être consommée habituellement
et utilisée en cuisine. En cure d'eau, on conseillait
l'eau distillée. Mais deux eaux diététiques atteignent
- voire dépassent - la pureté de l'eau distillée et
possèdent des qualités thérapeutiques spécifiques
: la Mont-Roucous, vendue en magasins de diététique
sous la marque "Rosée de la Reine", et la Montcalm.
L'eau du Mont-Roucous, issue des roches granitiques
du Parc du Haut Languedoc, jaillit à l'état pur à
927 mètres d'altitude dans un site préservé. C'est
actuellement la plus pure; non calcaire et non sodée,
elle a aussi une saveur tout à fait exceptionnelle.
Sa qualité essentielle est indéniablement sa très
faible minéralité. Sa teneur en éléments dissous tels
que calcium, sodium, sulfates et bicarbonates est
extrêmement réduite, moins de vingt milligrammes par
litre de résidu sec à 180°. Cette pureté induit une
résistivité extraordinairement élevée, supérieure
à quarante mille ohms, qui favorise l'élimination
des toxines organiques et favorise considérablement
les échanges cellulaires. Son pH légèrement acide
(pH 6) en fait une eau idéale pour la boisson car
il contribue à véhiculer les nutriments jusqu'aux
cellules et facilite l'élimination sans fatiguer les
reins. L'absence de calcaire et de sulfates, alliée
à un pourcentage élevé de silice, lui confèrent des
qualités diététiques qui la font recommander pour
les régimes alimentaires et prescrire par le corps
médical, et notamment par les pédiatres, les urologues,
les homéopathes et les phytothérapeutes, tout particulièrement
pendant la grossesse, pour la préparation des biberons,
le sport, la gériatrie et tous lés troubles de diurèse.
La Montcalm est captée à 1100 mètres d'altitude, dans
un site exceptionnel des Pyrénées ariégeoises, en
un lieu protégé exempt de toute présence humaine,
qui confère à cette eau une très grande pureté, pratiquement
équivalente à la Mont-Roucous puisque sa résistivité
s'élève à trente mille ohms, avec un résidu sec de
28 mg/1 à 180°C. Son taux de silice important, à 7,5
mg/1 et son pH un peu moins acide, 6,8, la rendent
très agréable à boire.
COMMENT
AMÉLIORER L'EAU ?
Le principal défaut de toutes les eaux en bouteilles,
même aux qualités exceptionnelles comme la Mont-Roucous
et la Montcalm, est d'être énergétiquement " mortes"
si on ne les dynamise pas avant de les boire. L'avantage
des eaux jaillissant de leur source, dans la nature,
est d'avoir longuement coulé sur la roche. Ce mouvement,
quelquefois violent, contribue tout d'abord à l'aération
de l'eau, mais surtout à la dynamisation de ses molécules.
C'est pourquoi une eau ayant reposé, parfois plusieurs
mois, dans une bouteille, ne bénéficie plus de cette
qualité, surtout lorsqu'il s'agit d'une eau plate
et peu minéralisée. Simoneton, un ingénieur spécialiste
de la "radiovitalité" des aliments, avait découvert
que la Volvic, par exemple, "vibrait" à 0 Angstrôm,
alors que l'eau du robinet, moins pure mais en mouvement,
parvenait à 2000 A°... ce qui n'était tout de même
pas suffisant pour apporter à l'organisme la vitalité
nécessaire, mais prouvait que c'était bien l'immobilité
qui "tue" les eaux en bouteilles. Heureusement il
découvrit un moyen simple de les re-dynamiser en les
passant une toute petite minute au mixer, ce qui fait
passer l'eau du robinet à 6000 A° et la Volvic à 6500
A°, à condition de boire assez rapidement cette eau
dynamisée, car sa longueur d'onde chute de moitié
en une dizaine d'heures, et se retrouve généralement
à 0 A° en 24 heures. Après redynamisation au mixer,
les eaux du Mont-Roucous ou de Montcalm peuvent attendre
un quart d'heure au réfrigérateur, de préférence dans
un pot en grès, avant d'être bues. D'autres techniques
de revitalisation de l'eau nécessitent des appareillages
spéciaux. Pour l'eau du robinet filtrée par osmose
inverse, plusieurs dynamiseurs les font passer sur
différents matériaux, du cristal à la silice. Attention,
en cas de contamination initiale ou fortuite de ces
éléments de dynamisation situés juste avant la distribution,
l'eau ne serait plus pure. Un bon entretien est donc
nécessaire. Pour l'eau en bouteilles, des dynamiseurs
électriques, conçus il y a une trentaine d'années,
comportent une électrode que l'on plonge dans l'eau
et dont l'action s'apparente à l'ionisation négative
de l'air. D'autres dynamiseurs, pour l'eau en bouteille
ou l'eau du robinet, agissent sans contact avec l'eau,
par "ondes de forme". Les Égyptiens utilisaient déjà
ces procédés qui, par à leur action à distance sans
contact, garantissent de conserver la pureté bactériologique
tout en éveillant l'eau. Autre méthode très classique,
la magnétisation de l'eau se réalise en plaçant pendant
vingt-quatre heures un récipient en verre rempli d'eau
de source sur un aimant plat de mille gauss. L'eau
ainsi magnétisée bénéficie d'une augmentation de 10%
du taux d'oxygène dissout, une modification de la
structure cristalline des minéraux, des réactions
colloïdales, une séparation des molécules électrisées
positivement et négativement, une résistivité différente,
une modification de l'hydratation et de l'ionisation
des sels minéraux, une capacité de solubilisation
accrue pour la silice et le zinc, et une transformation
de sa structure physique. Elle devient plus "mouillante"
et ainsi favorise de meilleurs échanges entre les
cellules et les liquides transporteurs de nutriments.
La consommation de cette eau améliore naturellement
la santé en régénérant les tissus, en leur apportant
de l'oxygène et en les nettoyant, en améliorant la
digestion, en diminuant l'acidité gastrique et les
flatulences, en accélérant le péristaltisme et la
diurèse, en normalisant le taux de cholestérol et
en régulant les systèmes hépatobiliaire et rénal.
Le plus connu des procédés de dynamisation de l'eau
est la méthode Violet, qui utilise le réseau électrique
pour capter des ondes réceptionnées dans un petit
appareil muni d'électrodes que l'on plonge dans l'eau
afin de lui conférer des qualités énergétiques tout
à fait extraordinaires. Cette eau a une concentration
en "eau trimère" supérieure à celle de l'eau normale,
ce qui explique son action favorable sur le biologique.
Cette concentration a un effet "d'économie d'énergie"
utilisable par le métabolisme. Revitalisée au mixer,
puis énergétisée par l'appareil Violet, l'eau en bouteilles
atteint un pouvoir thérapeutique rare.
QU'EST-CE
QU'UNE EAU VIVANTE ?
Toutes
ces recommandations classiques des naturothérapies
ont pour objet de transformer l'eau ordinaire, y compris
les eaux de sources les plus pures, en une eau d'une
qualité suffisante pour hydrater correctement les
cellules. Car on s'est aperçu que, même lorsque la
quantité d'un litre et demi à deux litres par jour
est respectée, la qualité de l'assimilation cellulaire
de cette eau est loin d'être assurée. Les avancées
les plus récentes en matière de biodisponibilité de
l'eau prouvent qu'elle s'avère structurellement impuissante
à franchir la paroi lipidique naturelle qui entoure
la cellule. Même les meilleures eaux de source, et
quelle que soit la quantité que l'on en consomme,
ne parviennent à établir avec la cellule qu'un contact
de surface. Bien sûr, l'organisme, par les enzymes
dont il dispose, transforme cette eau commune en une
eau biologique susceptible de nourrir la cellule,
mais cela provoque un épuisement de plus en plus marqué
du capital enzymatique, jusqu'à ce que, avec le temps,
les réserves deviennent insuffisantes pour éviter
l'assèchement généralisé de l'organisme, synonyme
de maladie et de mort. C'est pourquoi les procédés
pour rendre l'eau bioactive, c'est-à-dire capable
d'être assimilée directement par les cellules, sont
efficaces. Au début des années 90, des scientifiques
ont découvert que les cellules altérées baignent systématiquement
dans un liquide non structuré, alors que les cellules
saines sont toujours entourées d'une eau "agrégée",
autrement dit "vivante". Pour qu'une eau reste vivante,
il faut que ses molécules soient capables d'attirer
des électrons surnuméraires en grandes quantités.
L'eau qui coule dans les rivières et les lacs naturels
et non pollués est structurée et possède ces électrons.
En revanche, l'eau qui passe à travers des tuyaux
est dévitalisée, non.structurée, et ne possède pas
ces électrons. Il suffit de quelques centimètres de
canalisations sous pression pour que la molécule d'eau
ne puisse plus tourner correctement ; obligée de se
déplacer sur des trajectoires concentriques, elle
perd ses électrons externes et devient de l'eau non
structurée. Au microscope, l'eau structurée, organisée
en petites structures hexagonales stables et compactes
qui ressemblent à des flocons de neige et métaboliquement
plus actives car l'oxygène y est réparti en plus petits
groupes. Elle pénètre plus rapidement dans les cellules
de l'organisme à cause de la présence de nanocolloïdes,
de minuscules grains d'énergie qui attirent toutes
les molécules d'hydrogène libre passant près d'eux
pour former des polymères liquides. Cela abaisse la
tension de surface de l'eau, qui est ainsi adaptée
à la perméabilité des membranes cellulaires. Elle
devient alors ce qu'il convient d'appeler une eau
vivante et biologique !
L'EAU
DES HUNZAS
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Parallèlement
à la découverte de ce processus qui hydrate les
cellules, les études entreprises déjà depuis fort
longtemps par le Dr Coanda, puis par le Dr Flanagan,
sur le peuple des Hunzas, ont démontré que c'est
leur eau de consommation courante, provenant des
glaciers voisins, qui leur assure leur célèbre
longévité. Cette eau aux caractéristiques hors
norme contient des nanocolloïdes, minuscules sphères
cristallines possédant une haute charge négative
et dont le principal effet est de diminuer très
fortement la tension de surface de l'eau, favorisant
l'hydratation en profondeur des cellules car cette
eau à faible tension franchit aisément la barrière
lipidique des membranes. La consommation de cette
eau multiplie par trois l'absorption des nutriments
par la cellule. Puisque la cellule est mieux nourrie,
la sensation de faim, à l'origine de nombreux
surpoids, disparaît. |
Cette
eau très circulante emporte jusqu'à soixante-quatre
fois plus de toxines et de déchets qu'une eau
ordinaire et, en plus de s'es bienfaits pour la
santé et la longévité, elle libère progressivement
des zones de cellulite et supprime l'aspect capitonné
de la peau. Autre particularité exceptionnelle
de l'eau des Hunzas, elle contient des ions H-
en grande quantité, c'est-à-dire un hydrogène
ionisé qui protège le corps contre les dommages
provoqués par les radicaux libres, et cela sans
provoquer aucune cascade radicalaire comme le
font les autres antioxydants. L'hydrogène joue
un rôle important dans les réactions cellulaires
productrices d'énergie ; ainsi une eau riche en
ions H- améliore les performances physiques, corrige
le terrain biologique de ses déséquilibres et
l'oriente sur un axe alcalin/ réducteur qui limite
l'oxydation dans l'organisme. L'apport massif
d'électrons soutenu par l'hydrogène stimule la
qualité de la communication intercellulaire. Les
échanges d'information entre les milliards de
cellules de l'organisme sont ainsi dynamisés pour
une interactivité optimale. |
UN
COMPLÉMENT POUR RECONSTITUER L' EAU VIVANTE
Après
des années d'efforts pour stabiliser les reproductions
de l'eau des Hunzas, le Dr Flanagan, à l'aide des
nanotechnologies, a mis au point un procédé utilisant
un acide gras et trois minéraux présents dans les
tissus du vivant pour créer des nanocolloïdes à base
de silice. Ce micro agrégat catalytique au pouvoir
antioxydant 800% plus élevé que les substances connues
jusqu'alors améliore de 300% l'absorption des nutriments
au niveau cellulaire. Sous forme de compléments nutritionnels,
l'hydride de silice du Dr Flanagan est conditionné
en gélules ou en solution aqueuse à mélanger à une
eau très pure - de préférence la Montcalm - pour la
restructurer et, une fois vivement secouée, la rendre
à la vie. Ce traitement apporte dix mille fois plus
d'hydrogène ionisé que n'en contient la meilleure
eau, et plusieurs milliards de fois que la moins bonne
!
Il est conseillé de prendre trente gouttes dans un
litre d'eau de cette solution liquide commercialisée
sous le nom de " Crystal énergy", chaque jour pendant
deux semaines, avant de commencer à consommer les
gélules "Active-H" à raison d'une par jour, avec un
verre d'eau, pendant un mois. Le mois suivant on prend
deux gélules et ainsi de suite jusqu'à six, puis on
réduit d'une gélule tous les mois jusqu'à deux gélules
par mois pour aussi longtemps qu'il vous plaira.
Françoise
Jourdain pour " Médecine Douce " N°170 Juillet/Août
2007
A
lire aussi les livres sur la cure d'eau du Dr. Kneipp
et sur le plasma du Dr Quinton


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